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&nbsp;&nbsp; Départ matinal. J'amène pas Louise, finalement. Faudrait emmener le casque, la pompe, des outils, pfff ! Et puis il n'y a déja plus de place dans le coffre, alors. Overdose d'autoroute française jusqu'à FIXME ou on s'arrête passer la nuit. Hotel un peu crade, mais c'est ça qui est drôle : le changement. Dans la nuit, la boulangerie brûle : on est passé par là.
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Départ matinal. J'emmène pas Louise, finalement. Faudrait emmener le casque, la pompe, des outils, pfff ! Et puis il n'y a déja plus de place dans le coffre, alors. Overdose d'autoroute française jusqu'à FIXME ou on s'arrête passer la nuit. Hotel un peu crade, mais c'est ça qui est drôle : le changement. Dans la nuit, la boulangerie brûle : on est passé par là.
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&nbsp; Première deception : la pluie. Dès le deuxième jour, tentative de visite de Porto. Des photos du pont Louis 1er témoignent. Mais avec le champ de vision rétreci par la capuche, le plaisir de la découverte n'est pas flagrant.
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Première deception : la pluie. Dès le deuxième jour, tentative de visite de Porto. Des photos du pont Louis 1er témoignent. Mais avec le champ de vision rétreci par la capuche, le plaisir de la découverte n'est pas flagrant.
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&nbsp; Quelques jours plus tard, profitant d'une trève ensoleillée, c'est Coimbra que nous décidons de visiter. Charme de la ville, de l'université (pas de photos de celle-ci, voir les cartes postales). Ville universitaire, de garnisaon, de séminaire. La place FIXME est comme un entonnoir qui invite à s'enfoncer dans la vieille ville.
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Quelques jours plus tard, profitant d'une trève ensoleillée, c'est Coimbra que nous décidons de visiter. Charme de la ville, de l'université (pas de photos de celle-ci, voir les cartes postales). Ville universitaire, de garnisaon, de séminaire. La place FIXME est comme un entonnoir qui invite à s'enfoncer dans la vieille ville.
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&nbsp;Toujours à Coimbra, nous visitons un quartier plus riche derrière l'université. On trouve plusieurs maisons dont l'architecture témoigne de l'influence mauresque .
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Toujours à Coimbra, nous visitons un quartier plus riche derrière l'université. On trouve plusieurs maisons dont l'architecture témoigne de l'influence mauresque .
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Ah les belles vacances
Départ matinal. J'emmène pas Louise, finalement. Faudrait emmener le casque, la pompe, des outils, pfff ! Et puis il n'y a déja plus de place dans le coffre, alors. Overdose d'autoroute française jusqu'à FIXME ou on s'arrête passer la nuit. Hotel un peu crade, mais c'est ça qui est drôle : le changement. Dans la nuit, la boulangerie brûle : on est passé par là.
Première deception : la pluie. Dès le deuxième jour, tentative de visite de Porto. Des photos du pont Louis 1er témoignent. Mais avec le champ de vision rétreci par la capuche, le plaisir de la découverte n'est pas flagrant.
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Coimbra toujours. au Sud de l'université, dans un parc en pente, depuis plusieurs années, les étudiants ont pris l'habitude de graver une plaque de marbre commémorant la fin de leurs études. Une forme de Saudade écrite ou ils écrivent en forme de poésie leur vie d'étudiant.
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Retour à Porto : ou nous revisitons le pont Louis 1er et les quartiers du bas port.
Et la carte postale prise depuis la rive gauche du Douro.
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